Arbeitsgruppen

Arbeitsgruppe "Klinische Pharmazie - Klinische Pharmakologie

  • Zielsetzung: Generelles Ziel dieser Arbeitsgruppe ist es, die klinische Pharmazie in der Schweiz zu stärken und deren vielfältigen Interessen übergeordnet zu vertreten. Dies soll durch den Austausch einerseits innerhalb der (klinischen) Pharmazie, im Speziellen zwischen den für die Aus- und Weiterbildung Verantwortlichen (Universitäten, pharmaSuisse, GSASA, bestehende Weiterbildner) und andererseits zwischen Vertretern der klinischen Pharmazie und denen der klinischen Pharmakologie geschehen.
  • Mitglieder: Prof. Dr. pharm. Ursula von Mandach, Prof. Dr. pharm. Stefan Mühlebach.
  • Meeting 1: 30.11.2015, Haus Univ. Bern, Bericht auf Anfrage.
  • Meeting 2: 20.4.2016, 9:30-12 h, Teilnahme nur auf Einladung möglich.

Arbeitsgruppe "Pharmaziegeschichte"

  • Projekt: Inventarisierung von Schweizer Dissertationen und Masterarbeiten in Pharm. Wissenschaften.
  • Mitglieder: Prof. Dr. pharm. Rudolf Brenneisen, Prof. Jörg Huwyler, Dr. Ursula Hirter UniBS

Arbeitsgruppe "Patientendossier"

  • Projekt: Studie zu elektronischen Patientendossiers in der Schweiz (abgeschlossen)
  • Mitglieder: Prof. Dr. pharm. Ursula von Mandach, Prof. Dr. Jörg Huwyler, Ghislaine Tinguely
  • G. Tinguely - Design of Swiss drug database to monitor the use of drugs. Masterarbeit Pharmazie, Universität Basel, 2015
    tinguely_gislaine_design_of_a_swiss_drug_database.pdf
  • Zusammenfassung:
    Das Ziel des Gesundheitswesens ist die bestmögliche Versorgung der ganzen Bevölkerung. Sie sollte finanziell tragbar sein. Idealerweise sollte die Qualität unablässig steigen und die Kosten sollten abnehmen. Die Realität sieht jedoch ganz anders, das Gesundheitswesen bietet nicht immer die erhoffte Qualität und die Kosten erhöhen sich ständig. Eine mögliche Gegenmassnahme wäre die Schaffung bzw. Nutzung einer elektronischen Datenbank im Sinne eines elektronischen Patientendossiers, das neben den Krankendaten auch alle verordneten Medikamente beinhaltet. Das Ziel der vorliegenden Arbeit war, die Machbarkeit einer solchen Datenbank bzw. eines solchen Dossier zu prüfen.
    Methode: Die Aspekte und Probleme des Schweizerischen Gesundheitswesens wurden mit anhand von Berichten des Bundesamtes für Gesundheit (BAG) und der Organisation for Economic Co-operation ans Development (OECD) sowie der World Health Organization (WHO) studiert. Es wurde zudem mittels Internetrecherche zum Stichwort eHealth der Frage nachgegangen, ob es solche Datenbanken im EU und in der Schweiz bereits gibt und/oder allenfalls in der Schweiz kleinere regionale Projekte sich mit dieser Problematik bereits befasst haben. Bei ausländischen Gesundheitssystemen wurden die Datenparameter genau angeschaut. Bei bestehenden Projekten in der Schweiz wurden die Projektverantwortlichen inkl. der beteiligten Informatiker persönlich Kontaktiert, um Zugang zu der Art und Weise der Datenfassung zu erhalten. Mi ihnen wurde auch über die Voraussetzungen diskutiert, gesamtschweizerisch ein solches Patientendossier anzulegen.
    Letztlich wurde beim Anwender (Apotheker, Arzt) eine klein Umfrage über die Einführung und Nutzung eines Patientendossiers durchgeführt.
    Resultate: Im Ausland (Dänemark, England und Holland) gibt es bereits elektronische Patientendossiers und nationale Datenbanken. Weil sich dort das Gesundheitssystem direkt auf den Hausarzt bezieht, ist eine direkte Übernahme für die Schweiz nicht möglich. In der Schweiz existiert ein Projekt eines pharmazeutischen Dossiers im Kanton Freiburg. Dieses Dossier enthält, mit Einverständnis des Patienten, dessen gesamte Medikation. Zudem ist es über einen patientenspezifischen PIN-Code für alle mit der Ofac verbundenen Apotheken sichtbar. Im Kanton Wallis gibt es ein grösseres Projekt. Dort ist das elektronische Dossier auf einer Plattform verfügbar und an ein Datawarehouse gebunden. Damit sind statistische Auswertungen möglich, die letztlich Informationen zur Gesundheit der Bevölkerung liefern. Auch im Kanton Genf werden elektronische Patientendossiers getestet. Es ist über zwei Karten erreichbar, über die Karte des Arztes/Apothekers und über die Karte des Patienten. Um Zugang zum Dossier zu erhalten, müssen sich beide gleichzeitig im System einloggen.
    Für die Bereitstellung elektronischer Patientendossiers sind Informatik Tools vorhanden. Ein Gesetz zu elektronischen Patientendossiers wurde im Parlament vorgeschlagen.
    Für die Bereitstellung einer nationalen Datenbank könnte man sich vom Walliser Modell inspirieren lassen. Alle Patientendaten würden anonym auf einer Plattform gespeichert und der Zugang könnte durch einen patientenspezifischen PIN-Code wie im Kanton Freiburg geschehen. Die Bereitstellung wäre kantonal, d.h. die Daten würden so pro Kanton gespeichert; damit wäre auch das Problem der verschiedenen Gesetze der Kantone gelöst.
    Schlussfolgerung: Auf der Basis einer Zusammenarbeit der verschiedenen Gesundheitsbereiche und der Politik (Gesetzgeber), ist ein solches Projekt realisierbar.

    Résumé
    Introduction: L’objectif du système de santé en Suisse est de permettre les meilleurs soins à toute la population, à des coûts supportables.Dans un monde idéal, la qualité serait sans cesse améliorée et les coûts diminués. Mais la réalité est tout autre, la qualité n’est pas toujours à la hauteur des espérances et les coûts de la santé ne cessent de grimper. Pour y remédier, la mise en place d’une banque de données liée aux dossiers électronique des patients est une possibilité. Le but de ce travail est donc d’étudier et de proposer la faisabilité d’un tel projet.
    Méthode : Les différents aspects du système de santé suisse ont été par la lecture de rapports de l’office fédéral de la santé publique ainsi que celui de l’OECD-OMS. Les systèmes de santé $ l’étranger ont également été étudiés par la consultation des sites internet de leur département de la santé. Il a été recherché si des banques de données existait ainsi que si systèmes régionaux ont déjà été élaborés en Suisse, à l’aide du site internet de la confédération et d’eHealth suisse. Ils ont ensuite fait l’objet d’une recherche sur la faisabilité au niveau national, ceci par la recherche de documents et par des interviews.
    Résultats : A l’étranger (en Angleterre, au Danemark et en Hollande), les dossiers patients partagés et les banques de données au niveau national existent déjà. Etant donné que les systèmes de santé ailleurs en Europe se centralisent autour du médecin généraliste, une copie exacte de ceux-ci ne peut être mise en place en Suisse.
    Un projet de dossier pharmaceutique, qui contient la médication du patient,  a vu le jour dans le canton de Fribourg. Le dossier contient, avec l’accord du patient, toute sa médication, et est visible, par entrée d’un code PIN, par les autres pharmacies liées à l’Ofac. Le canton du valais a un projet plus élaboré, le dossier médical du patient est disponible sur une plateforme, et lié à un datawarehouse. Celui-ci permet de faire des statistiques et d’obtenir des informations sur la santé de la population. Les deux projets, suivent les lois sur la protection des données, l’anonymisation. A Genève un dossier électronique du patient a également été mis en place. Son accès se fait par cartes. Celle du professionnel et celle du patient doivent être inséré dans un lecteur pour permettre la lecture du dossier.
    Les outils informatiques pour la mise en place d’un dossier électronique du patient lié à une banque de données sont là. Une loi sur le dossier électronique a été proposée.
    Pour une mise en place d’une banque de données au niveau nationale, il y a possibilité de prendre exemple sur le modèle valaisan. Toutes les données se rapportant aux patients peuvent être anonymisées par l’attribution d’un numéro par un serveur d’identité. L’accès peut être autorisé par le patient en mettant en place un système de code PIN comme dans le canton de Fribourg. En mettant en place une plateforme par canton, le stockage de toutes les données à un seul endroit serait évité et pourrait également résoudre le problème des différentes législations selon les cantons. Les utilisateurs interrogés se sont exprimés positivement au sujet d’un tel dossier.
    Conclusion : La mise en place d’une banque de données à partir d’un dossier patient électronique est possible, grâce aux outils informatiques existant, mais uniquement avec la volonté de chaque acteurs du système de santé.

Arbeitsgruppen in Planung

  • Katastrophenpharmazie
  • Nanotechnologie
  • Fort- und Weiterbildung
  • Öffentlichkeitsarbeit SAPhW